Tournage de la scène de la prise de conscience. Aout 2002.
Je vous propose un reportage/interview avec un comédien (voisin) de Dieffenbach au-val qui a toujours été partant pour me suivre sur mes projets de films farfelus et souvent démesurés par rapport aux moyens dont je disposais. Denis à toujours été remarquable dans son implication et son sérieux.
Recueil de poème de Maria Béhé disponible aux éditions de l’ail.
« Seul qui connaît la « Sehnsucht », sait combien je souffre. » : « Nur wer die Sehnsucht kennt, weiß, was ich leide. » En effet, la « Sehnsucht » est aussi liée à la souffrance ! Celui qui l’éprouve ressent la mélancolique douleur de désirer passionnément, langoureusement, impatiemment quelque chose d’absent, voire de très éloigné. L’amant qui se fait attendre, par exemple.
Un allemand peut aussi ressentir la langoureuse « Sehnsucht » de partir au loin, dans un pays merveilleux mais inaccessible. Résumons, le sentiment de la « Sehnsucht » est une nostalgie tournée vers le futur et mêlée d’avance d’un regret pénible : que l’objet désiré donc l’amant reste inaccessible ou qu’un objectif comme le pays lointain soit inatteignable. (source lien en bas de l’article)
Maria Béhé
Reportage tourné à Triembach au-val (Alsace) chez Maria, qui nous parle de son recueil de poésie en alsacien, en français et en allemand.